K. Nagel et M. Schreckenberg ont proposé, dans les années 90, un modèle de trafic autoroutier basé sur un automate cellulaire de dimension 1.
Les cellules de l'automate représentent différentes portions de l'autoroute.
Une cellule est soit dans l'état vide, soit dans l'un des états $\{v_1 , ..., v_n \}$, où $v_i$ représentent la présence d'un véhicule roulant à la vitesse $v_i$ ($v_1$ représente l'arrêt).
Le fonctionnement est schématiquement le suivant :
Ce modèle correspond à un automate cellulaire si la perturbation aléatoire est absente ($p = 0$).